Le taux d’humidité intérieure, impacte-t-il ma santé ?

Comme beaucoup de phénomènes atmosphériques, le taux d’humidité en intérieur peut impacter durablement votre santé ainsi que celle de vos proches. Afin de limiter cet impact, Refresh Group à Bruxelles vous explique comment surveiller le degré d’hygrométrie de votre foyer.

Les dangers d’un taux d’humidité trop élevé

Si un air trop sec n’est pas bon pour la santé, il en va de même d’un air trop humide. Ce dernier favorise la prolifération d’acariens, mais également le développement de moisissures. Ces deux sources d’allergies bien connues ne doivent pas être prises à la légère ; afin de limiter leur développement, surveillez votre intérieur de près.

Des signes d’humidité intérieure

La peinture de vos murs et plafonds s’écaille, des tâches noires apparaissent sur les joints des équipements sanitaires, vous devez constamment essuyer la condensation des fenêtres et des moisissures apparaissent au coin des murs ? Tous ces signes sont la preuve d’un taux d’hygrométrie trop élevé. Pour confirmer ce diagnostic, utilisez un hygromètre, disponible dans les magasins de bricolage. Installez-le dans une pièce et vérifiez les résultats : le taux d’humidité idéal se situe entre 40 et 60 %.

Des solutions simples et fiables

Afin de limiter le taux d’humidité intérieur, vous pouvez avoir recours à des méthodes à la fois simples qui ont largement fait leurs preuves. En hiver, n’hésitez pas à utiliser vos radiateurs, qui augmenteront la température de la pièce et feront sécher murs et plafonds. En été, vous pouvez utiliser des ventilateurs ou climatiseurs, qui contribueront non seulement à faire descendre la température de la pièce, mais également à assainir l’air en l’asséchant. Veillez cependant à ce que le taux d’humidité se situe toujours entre 40 et 60 % ; un air trop sec favorise les infections ORL et contribue à augmenter le risque de crises d’asthme chez les personnes sujettes à ces troubles.

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